ENERGIES

GPL Edito

Dans ma famille, on a adopté le carburant GPL* depuis de nombreuses années, et on ne regrette pas.

Pour deux raisons principales :

1 Il est beaucoup moins cher, quasiment moitié prix du 95, ou les 2/3 du gas-oil.

2 Il ne pollue pratiquement pas, c’est le plus propre des carburants actuels, très peu de Co2 et de NoX, aucun rejet de particules, et c’est bon pour la planète.

Alors je pose la question :

Pourquoi est-il boudé autant par les utilisateurs que par les pouvoirs publics ?

Car, tant qu’on n’aura pas éliminé les carburants à base de pétrole, autant utiliser celui qui pollue le moins ?

A moi ça semble logique, mais manifestement ça ne l’est pas pour tous.

Le gouvernement préfère promouvoir les agrocarburants, qu’insidieusement on appelle « biocarburants », alors qu’ils n’ont rien de bio, l’agrocarburant mis actuellement sur le marché ne contient que 10% de carburant d’origine agricole, et le plus ubuesque c’est qu’il faut 0,80 litre de pétrole pour fabriquer 1 litre de cet additif !

Conclusion :

Les très puissants lobbies pétrolier mondiaux et céréaliers français affiliés à la cynique FNSEA n’ont en rien à faire de la santé de la planète, ni du porte monnaie des particuliers, et les hommes de Sarkosy sont complices de cette escroquerie.

En attendant, moi je roule à 0,60 centimes d’euro le litre !

 

Si vous avez des doutes ou des questions, n’hésitez pas à m’en faire part par «  Contact »

 

*GPL : Gaz Propane Liquide, en fait un mélange de propane et de butane.

 

En retour, Wilfrid m'a fait parvenir cette intéressante étude, et conseille un livre "REPARER LA PLANETE"


Le GPL, c'est bien, mais c'est pas la panacée, ça rejette toujours du CO2 fossile...
Il faudrait aller directement à l'étape suivante : de "vrai" bio-carburant. Pas trop (bien qu'il faudrait) que le "bio" signifie "agriculture biologique", mais surtout que ça soit la 2 ème génération de ces bio carburant.

En effet la première génération que l'on connait actuellement, c'est pas top (1 litre d'essence pour produit 1.5 à 2litre de bio carburant, pas top du tout). Surtout quand on voit les matière noble utilisées à la place de culture vivrières....

Sans aller jusqu'à la deuxième génération, il y a d'ores et déjà d'autres sources de biocarburant qui entre pas ou peu en compétition avec notre bouffe à nous, et qui ont des rendements bien supérieurs : jatropha et panneaux d'algues notamment. La première pousse dans les zones semi-aride, déjà impropre à la culture, et se sentirait très bien sur nos bordures d'autoroute, chemins de fer, et autres, et l'autre est parfait pour les toitures des usines, bureaux, et autres zone facile d'accès mais impropre à la culture (surtout que la rapiditié de production augmente lorsque qu'associé à des usines dont on injecte le CO2 dans ces panneaux).

L'intérêt de tout ça : ne pas avoir à modifier les habitudes, ni les réservoirs, ni les stations, rien, juste la source du "pétrole". Et oui, une fois ces cultures en place, les rendements sont tel que l'on peut éliminé le pétrole fossile de la boucle.
Et 2ème effet : stockage de CO2 au sein des cultures et des sols de ces cultures. Double impact en réduisant la quantité de CO2 de l'atmosphère, et en arrêtant d'en extraire des énergies fossiles.

Les bio-carburant de 2ème génération, c'est l'utilisation de toute la matière végétale pour fabriquer du pétrole, donc beaucoup plus productif que l'utilisation de la seule matière noble de la plante !

C'est vers cela qu'il faut pousser. Et vers la réduction de consommation d'énergie, quel qu'elle soit.

     Une communication du Réseau "SORTIR du NUCLEAIRE"

 

Participez à une grande campagne nationale d'envois de cartes postales pour interpeller les têtes de listes candidates aux élections européennes du 7 juin 2009, afin qu'elles prennent position sur les questions liées au nucléaire et à l'énergie.

Nous avons besoin rapidement et massivement de votre aide.

POUR AGIR :

• Recevez GRATUITEMENT, à votre domicile, un exemplaire du dépliant de la campagne contenant les cartes postales à envoyer aux candidats.
Cliquez maintenant sur :
http://www.ninucleaire-nieffetdeserre.org/spip.php?rubrique42

• Si vous avez déjà reçu le dépliant de la campagne, commandez-en des exemplaires supplémentaires à diffuser largement autour de vous.

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http://boutique.sortirdunucleaire.org/index.php?actualites_id=4


Retrouvez toutes les informations sur cette campagne sur :
http://europe-sans-nucleaire.org





ENERCOOP, un projet intéressant

     tous ceux qui comme moi sont de plus en plus mal à l'aise dans leur peau de consommateur effréné d'électricité "made in nucléaire" avec son cortège de nuisances, de dangers potentiels, et surtout de production de déchets à risques se doivent de consulter tout ce qui se dit sur ce nouveau concept de commerce équitable dans le domaine de l'Energie.

 

       Google : Enercoop

                  VGE et le nucléaire

   un petit texte trouvé sur Internet

 

     L'ancien président de la République, Valéry Giscard d'Estaing, a réclamé une évaluation du coût des éoliennes et souhaité que les Français soient vraiment consultés sur leur implantation dans le paysage français. Il faudrait que les gens soient vraiment consultés, a-t-il dit sur RMC, estimant que l'organisation de référendums locaux serait une très bonne idée.

     L'ancien chef de l'Etat préside le Comité d'orientation stratégique de la Fédération environnement durable (FED), qui rassemble des associations d'opposants à l'éolien. Ce comité qui comprend notamment Marcel Boiteux, un ancien président d'EDF, des sénateurs et Jean-Louis Butré, président de la FED, s'est réuni pour la première fois le 4 juin dernier 2008. Son objectif : évaluer les conséquences du choix de l'énergie éolienne en France et en Europe.

     Lors de ce comité, ses membres ont notamment souhaité que soient établies des données chiffrées objectives et incontestables permettant de dresser un bilan prévisionnel exact de toutes les conséquences environnementales et économiques, notamment budgétaires, qu'engendre ce mode de production d'électricité en France.

      Le comité demande également que soit communiqué le montant des surcoûts supportés par EDF, et que soit étudié dans quelle mesure le rachat obligatoire par EDF de l'électricité éolienne n'occasionne pas des profits manifestement excessifs pour les sociétés exploitantes.

Enfin, le comité souhaite que l'installation d'éoliennes fasse l'objet d'une information des habitants, qui pourraient même être consultés en la matière comme le souhaite la proposition de loi déposée à cet effet au Sénat par M. Philippe Marini.

        Bien évidemment vous vous demandez pourquoi VGE est aussi remonté contre les éoliennes... En lisant ce qui suit vous comprendrez mieux pourquoi.

 En menant une croisade anti éoliennes, il fait indirectement la promotion du nucléaire !

 C'est étrange qu'il ne s'érige pas en défenseur des paysages lorsqu'il s'agit des énormes centrales nucléaires et de leur chapelet de lignes à haute tension.

 Voici un extrait du livre de Didier Anger "Nucléaire : la démocratie bafouée" qui vous aidera à y voir plus clair :

 - Valéry Giscard d’Estaing a épousé en 1952, Anne-Aymone Schneider, la petite-fille du baron Charles Schneider, et se trouve ainsi lié à l’un des plus gros groupes industriels européens de l’époque : le groupe Empain-Schneider. C’est ce groupe à travers sa filiale Framatome-Creusot-Loire, qui en France détient le brevet des réacteurs PWR (brevet américain Westinghouse), la seule filière technologique qui sera développée pour le parc de centrales nucléaires d’EDF quand VGE sera président de la république.

 - Jacques Giscard d’Estaing, cousin de Valéry Giscard d’Estaing. a été directeur, en 1975, de la SOMAIR (la société des mines d’uranium de l’Aïr) au Niger. Il est aussi au Conseil d’administration de la COMUF (compagnie des mines d’uranium de Franceville) au Gabon, et développe des relations avec le Centre-Afrique de Bokassa. En 1976, quand Westinghouse sort de Framatome, c’est Jacques Giscard d’Estaing qui est chargé de lier les activités du Commissariat à l’énergie atomique et de Framatome.

 - Philippe Giscard d’Estaing, frère de Jacques : il est administrateur de Thomson-CSF qui travaille pour le nucléaire.

 - Enfin, François Giscard d’Estaing, frère de Jacques et Philippe : il est PDG de la Banque française du commerce extérieur (BFCE). Dans ces années-là, la France est l’un des pays les plus proliférant et vend du nucléaire partout. Valéry est alors le représentant de commerce du nucléaire et toutes les ventes passent par la BFCE.

 Tout dernièrement je découvre sur le site Boursorma.com qu'Olivia Giscard d'Estaing (fille de VGE) directrice générale de Neuflize Private Assets (Groupe ABN Amro) et gérante du fonds Noam Optimum recommande à l'achat en bourse 7 sociétés et à votre avis laquelle figure dans la liste : SCHNEIDER ELECTRIC !

 Un petit tour sur le site de Schneider Electric pour se rendre compte qu'Antoine Giscard d'Estaing (cousin de l'ancien Président de la République) est membre du comité exécutif en tant que directeur financier de la société ! On constate donc que le nucléaire et les Giscard d'Estaing ne font qu'un...

 C'est donc dans la suite logique des choses que VGE devienne anti-éolien…

 

 

Le fil d'Ariane, Chap 6

— Toi aussi, Ariane, tu me plais, j’apprécie beaucoup ta conversation, ton caractère effronté, et ta voix ! Ah, cette voix !

— Ah bon, et qu’est ce qu’elle te fait ma voix, dit elle avec un soupçon de provocation, c’était très net.

— Ben, je ne voudrais entrer dans des détails intimes, disons qu’elle me trouble…..si tu vois ce que je veux dire.

Un petit rire de gorge.

— Ça, je le vois bien que tu es troublé, tu roules carrément au milieu de la route depuis trois minutes !

 Je revins précipitamment sur le bon côté de la route, et un grand fou rire nous prit, histoire de décompresser.

Et j’enchaînais :

— Ce qui me gêne, par contre, c’est que je ne peux te visualiser physiquement.

— C’est sûr, et tu me vois comment ?

— Une belle brune capiteuse, au regard direct, et l’air coquin !

Et tout en énonçant ce portrait qui devait correspondre à une référence bien cachée dans un subconscient étouffé depuis belle lurette, je pensais : si ça se trouve celui qui est à l’autre bout est un petit vieux fripé à l’œil torve, ou une effigie de mégère à l’air aussi avenant qu’une plaque d’égout, et ça doit drôlement le ou la faire rigoler, ou peut-être à l’inverse le ou la mettre en rage.

Je l’avais pris de court, le zèbre, Ariane se taisait, mais tout doucement je sentais l’ambiance qui depuis le périphérique s’était détendue, se crisper de nouveau, c’était palpable, et je me mis à surveiller de plus belle ma route et ma conduite, j’avais comme un pressentiment.

 

       A suivre     

 Il faut aller là où vous saurez tout sur la Société

AREVA, la banqueroute ?

Publication des comptes 2008 d'AREVA
 
        AREVA au bord de la faillite : l'argent public ne doit pas renflouer l'industrie nucléaire.
 
        Pertes colossales sur le chantier de l'EPR de Finlande, facture de 2 milliards du fait du départ de Siemens, plusieurs investissements insensés aux USA, 60% de baisse en bourse en quelques mois, Areva est au bord de la faillite. L'industrie nucléaire française est sinistrée et ne doit pas être renflouée par l'argent public,lequel doit aller aux énergies renouvelables.

 

 L'entreprise nucléaire AREVA publie ce soir ses comptes pour l'année 2008.
       D'ores et déjà, on peut annoncer que ce supposé "fleuron" de l'industrie  française est au bord de la faillite et attend que ce soit l'argent public qui, une nouvelle fois en

France, vienne au secours d'une industrie

 nucléaire défaillante.

       AREVA est à la recherche de près de 3 milliards d'euros pour simplement boucler son budget 2009, et a déjà annulé, le 25 novembre 2008, son projet d'exploitation de la mine d'uranium Midwest au Canada. Autre déconvenue majeure pour AREVA qui attendait beaucoup de ce marché : le 5 décembre,  l'Afrique du Sud a annulé les 12 réacteurs qu'elle prétendait faire construire.
 
        Pendant ce temps, le chantier EPR d'AREVA en Finlande, lancé en février 2005, tourne au désastre : déjà 38 mois de retard et 2,4 milliards d'euros de pénalité demandés par les Finlandais aux Français. Vendu 3 milliards d'euros, ce réacteur coûte donc en réalité 5,4 milliards attendant

de nouveaux  surcoûts.
 
         De plus, le départ de Siemens, annoncé en janvier dernier, a pris au dépourvu AREVA qui doit trouver 2 milliards d'euros de plus pour racheter les parts  détenues par son ancien allié. A la bourse de Paris, la cotation d'AREVA est passée de 820 euros en juin dernier à 325 à ce jour : -60% !
 
         Par ailleurs, la plupart des projets de construction de réacteurs annoncés ces derniers mois, et qui pourraient représenter des marchés pour AREVA, restent parfaitement virtuels : lors des déplacements à l'étranger de M Sarkozy (Libye, Algérie, Maroc, Abou Dhabi, Arabie Saoudite, Jordanie, Afrique du Sud, Estonie, etc), de simples "accords de coopération" ont été signés : bien qu'il y soit souvent fait mention de l'éventualité de construire des réacteurs EPR, ces documents n'engagent absolument à rien.
  
         Ainsi, les 4 et 24 février dernier, l'Elysée a bluffé en célébrant la supposée "vente" de deux EPR à l'Inde et d' "au moins 4 EPR" à l'Italie :

 Il est facile de faire de telles annonces, bien plus difficile – surtout en ces temps de crise mondiale - de trouver les immenses financements nécessaires pour construire réellement ces réacteurs.
  
        Autre marché visé par AREVA et qui tourne à la déconfiture : les USA. Le plan de relance de M. OBAMA a attribué zéro dollar au secteur nucléaire... qui espérait 50 milliards. La plupart des projets de réacteurs sont gelés, et les rares qui avancent réellement sont portés par les concurrents américano-nippons d'AREVA (Westinghouse/Toshiba et General Electric/Hitachi).
  
        Pourtant, AREVA investit aveuglément aux USA pour participer à une supposée "renaissance" du nucléaire de plus en plus virtuelle : en mai 2008, AREVA a annoncé avoir retenu le site de Bonneville, dans l'Idaho, pour produire du combustible nucléaire. Et en octobre 2008, AREVA a annoncé investir plus de 360 millions de dollars dans l'Etat de Virginie pour fabriquer des composants lourds pour le secteur nucléaire américain.
  
          De même, en Grande-Bretagne, AREVA est tributaire d'éventuelles commandes d'EDF qui a racheté British Energy au prix fort (juste avant la crise mondiale !). Mais EDF est lourdement endettée et à aussi perdu plus de 60% en bourse...
  
                      Incapable de reconnaître son échec programmé,
Mme LAUVERGEON est lancée dans une fuite en avant insensée qui a toutes les chances de se terminer par un désastre industriel et financier. Hélas, AREVA étant détenue par l'Etat, ce sont les citoyens de France qui paieront la note le moment venu.

     

        Il est encore temps de mettre un coup d'arrêt à cette folie, et d'empêcher M Sarkozy d'utiliser l'argent public pour renflouer Areva.

        Comme le fait M OBAMA aux USA, c'est dans les économies d'énergie et dans les énergies renouvelables qu'il faut investir.

 

EPR, une connerie de plus ?

 

Réseau "Sortir du nucléaire" - Fédération de 840 associations

Communiqué de presse du vendredi 30 janvier 2009

Contact presse : 06.64.100.333

Nucléaire : annonce d'un nouvel EPR

Réunit ce week-end en Assemblée générale à La Rochelle,
le Réseau "Sortir du nucléaire organise la résistance citoyenne.


L'Elysée a annoncé le 29 janvier au soir la construction en France d'un nouveau réacteur EPR, à Penly (Seine-Maritime).

Le Réseau "Sortir du nucléaire" se réunit en Assemblée générale nationale dès ce week-end à La Rochelle (17) et va à cette occasion organiser la résistance citoyenne.
 
En attendant, le Réseau "Sortir du nucléaire" conteste les affirmations de M Gadonneix (PDG d'EDF) qui prétend que la construction de ce réacteur serait "une bonne nouvelle pour l'emploi". La réalité est en fait exactement inverse : des études montrent que, pour un investissement égal, les économies d'énergie et les énergies renouvelables créent jusqu'à 15 fois plus d'emplois que le nucléaire (*).
 
D'ailleurs, après avoir longtemps soutenu le nucléaire, le puissant syndicat allemand IG Metall vient de fustiger une "technologie vieillissante et arriérée" par la voix d'un de ses dirigeants, Hartmut Meine, qui a pris la parole dans le cadre d'une manifestation contre les transports de déchets radioactifs le 9 novembre dernier. Cette conversion s'explique sans peine : en quelques années, les énergies renouvelables ont créé 250 000 emplois en Allemagne, chiffre en augmentation continuelle. A titre de comparaison, après 50 ans d'investissements massifs, le nucléaire emploie moins de 100 000 personnes en France.
 
Le projet de construire de nouveaux EPR n'est donc pas seulement irresponsable sur le plan environnemental, il est aussi absurde sur le plan économique. Plus que jamais, la "France nucléaire" fait fausse route : il y a quelques jours à peine le 26 janvier, l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (Irena) a été officiellement créée par cinquante pays, notamment l'Allemagne, l'Espagne et le Danemark, qui se sont engagés de longue date en faveur des énergies vertes. La France, elle, a tout tenté d'empêcher la naissance de cette organisation et n'y participe que du bout des pieds.
 
Il faut dire que la construction d'un nouvel EPR empêchera la France de respecter son engagement européen de 20% d'énergies renouvelables dans la consommation finale d'énergie en 2020. Qui plus est, la vague de froid de cet hiver a démontré que la France manquait de moyens de production "de pointe" : elle ne doit donc surtout pas ajouter de nucléaire (qui produit "en base").
 
Face à ce nouveau coup de force, le Réseau "Sortir du nucléaire" annonce d'ores et déjà qu'il attaquera en justice les autorisations de construction du nouvel EPR annoncé à Penly (Seine-Maritime).

Les incroyables déboires rencontrés par EDF et Areva, respectivement sur les chantiers des EPR de Finlande et de Flamanville, devraient suffire à écarter tout nouveau projet d'EPR.

Le nucléaire est une industrie du siècle passé, dangereuse et archaïque, chère et polluante. L'avenir est aux économies d'énergie et au développement des énergies propres et renouvelables.
 
(*) Cf Etude "Un courant alternatif pour le Grand-Ouest", avril 2006. Voir ici

Contacts presse : 06.64.100.333




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